Pour beaucoup aujourd’hui, y compris des théologiens, le démon n’existe pas ; il ne serait que la personnalisation symbolique de phénomènes psychiatriques et parapsychologiques, tandis qu’il exerce, pour d’autre, une fascination croissante et que les sectes sataniques se multiplient : en Italie, en France, en Allemagne, jusqu’au coeur du Vatican, paraît-il, plusieurs personnes évoquent d’ailleurs leur pacte avec Satan qu’ils disent avantageux…
Alors que certains tentent de se débarrasser de l’image de l’exorciste qui combat le démon, l’exorciste le plus célèbre du monde brise la conspiration du silence sur le rôle du diable, il raconte avec force, intelligence et modération – car il n’est pas question ici d’identifier la foi catholique avec la superstition – que le phénomène de possession est tangible, le « mystère du mal », trop rencontré aux XX et XXIe siècles, possède une forme, une existence personnelle et bien réelle : Satan, à l’origine ange sublime siégant au coté de Dieu, ne devant sa méchanceté qu’à lui même et à son choix du mal, et la facture de ceux qui s’y « lient » apparaît bien salée, car le diable n’a pas d’amis, il n’a que des esclaves…
Des témoignages forts et réalistes ponctués d’enseignements montrant que la vie de chaque homme et celle du monde restent un combat spirituel, qui doit être gagné à chaque époque, en chaque lieu, dans chaque vie, le plus réel et le plus grave des combats, et aussi, le plus assuré du succès.

Né en 1925, prêtre exorciste, docteur en droit et journaliste, Dom Gabriel Amorth a procédé à plus de 70 000 exorcismes depuis sa nomination à ce poste par Rome en 1986. Les publications de son expérience en Italie, plusieurs fois rééditées, ont connu un immense succès.

Invité à Rome pour seconder un grand exorciste, le père Gabriele est révolté de constater que ce qu’il définit lui-même comme une « profession » est en train de disparaître. Il fonde alors l’Association internationale des exorcistes, visant à perpétuer les cultes de conjuration du démon, et est nommé exorciste officiel du Vatican. Par des rites et des prières de délivrance, il tente de soulager les peines des nombreuses personnes affligées de souffrances diverses pour qui la médecine et la psychiatrie n’ont rien pu faire.

Œuvre du Sacré-Coeur de Jésus

Message du Christ à Sœur Josefa Menendez

« un message d'Amour et de Miséricorde »

« Mon cœur ne peut plus contenir la flamme qui le dévore,

j'aime à tel points les âmes que j'ai donné ma vie pour elles,

pour leur amour, j'ai voulu rester dans le tabernacle,

depuis 20 siècles, je demeure là, nuit et jour...

je demeure voilé sous les apparences du pain et caché dans l'hostie,

par amour je supporte l'oubli, les mépris, la solitude,

j'ai voulu vous laisser le sacrement de pénitence,

je veux vous pardonner aussi souvent que vous aurez besoin de recouvrer la grâce,

là je vous attend …

là, je désire que vous veniez vous lavez de vos fautes,

non avec l'eau mais dans mon propre sang,

au cours des siècles j'ai montré combien le désir du salut de tous me consume,

j'ai fait connaître mon cœur, je veux maintenant quelque chose de plus...

je demande l'amour pour répondre à celui qui me consume,

je désire que tous croient en ma Miséricorde,

je désire que tous attendent tout de ma bonté,

je désire que personne ne doute jamais de mon pardon,

je suis Père,

un Père qui aime avec tendresse,

mon cœur est infiniment saint, mais aussi infiniment sage,

mon cœur connait la misère et la fragilité humaine,

mon cœur s'incline vers les pauvres pécheurs avec une miséricorde infinie

j'aime les âmes après qu'elles ont commis leur premier péché,

si elles viennent me demander humblement pardon …,

je les aime encore quand elles ont pleuré leur second péché...,

je les aime toujours...

je lave dans mon sang le dernier comme le premier péché,

si cela se répète, je leur pardonne toujours,

je ne dis pas un milliard de fois,

mais des millions de milliards, je ne me lasse pas de vous,

mon cœur attend sans cesse que vous veniez vous réfugier en lui...,

d'autant plus que vous êtes plus misérables,

un père n'a t-il pas plus de soin de l'enfant malade que de ceux qui se portent bien?

Pour lui, sa sollicitude et ses délicatesses ne sont-elles pas plus grandes?

Ainsi, mon cœur répand il sur les pécheurs, avec plus de largesse,

encore que sur les justes, sa compassion et sa tendresse,

voilà ce que je désire expliquer à tous :

j'enseignerai aux pécheurs,

que la miséricorde de mon cœur est inépuisable,

j'enseignerai à tous que mon cœur est un feu qui veut les embraser,

parce qu'il les aime,

j'enseignerai aux âmes pieuses et bonnes,

que mon cœur est le chemin pour avancer vers la perfection,

enfin aux prêtres, aux religieux, à ceux que j'ai choisis, je demanderai,

une fois de plus, qu'ils me donnent leur amour et doute pas du mien,

mais surtout qu'ils me donnent leur confiance

et ne doutent pas de ma Miséricorde,

je suis la Sagesse,

je suis le Bonheur,

je suis l'Amour,

je suis la Miséricorde,

pour régner, je commencerai par faire Miséricorde,

je suis la paix,

je veux répandre ma paix jusqu'aux extrémités du monde,

j'adresse mon appel à tous, aux justes et aux pécheurs,

aux savants et aux ignorants,

si vous cherchez la richesse,

je suis la richesse infinie,

je veux que le monde connaisse,

ma miséricorde et mon amour,

voilà la fin que je veux réaliser,

voilà mon œuvre d'amour »

Œuvre du Sacré-cœur de Jésus

Message du Christ à Sœur Josefa Menendez

« que les âmes ne se perdent pas, aide moi dans cette œuvre d'amour »

« que les âmes ne se perdent pas...

aide moi dans cette œuvre d'amour,

j'aime à tel point les hommes, que j'ai donné ma vie pour eux,

mais combien ne le savent pas,

aide moi à leur découvrir mon cœur,

ce n'est pas le péché qui blesse le plus mon cœur,

ce qui le déchire c'est que les hommes ne viennent pas,

se réfugier en moi après l'avoir commis,

mon cœur ne refuse jamais le pardon à celui qui s'humilie,

surtout à celui qui le demande avec une vraie confiance,

les hommes courent à leur perte et mon sang est perdu pour eux,

mais ceux qui m'aiment s'immolent et se consument comme victimes de réparation,

ils attirent la Miséricorde de Dieu sur les pécheurs,

voilà ce qui sauve le monde,

je cours à la poursuite des pécheurs comme la justice à celle des criminels,

mais la justice les cherche pour les châtier et moi pour leur pardonner,

prie... prie... ne te lasse pas,

ne crains pas d'être importune car la prière est la clé qui ouvre toutes les portes,

quand vous priez pour un pécheur avec l'ardent désir de sa conversion,

vous obtenez le plus souvent son retour...

unis toutes tes actions aux miennes,

soit que tu travailles, soit que tu te reposes, que d'âmes tu gagneras ainsi!

- Prie ainsi :

Père Éternel,

Regarde les âmes revêtues du Sang de Ton Fils,

qui s'offre à toi sans cesse,

Il T'offre Son Cœur, Ses Plaies, Son Sang pour leur salut,

Dieu de Miséricorde,

Aie pitié de la fragilité humaine,

Éclaire les esprits afin qu'ils ne se laissent pas séduire et entraîner,

Donne la force à tous les hommes,

afin qu'ils repoussent les pièges que leur tend l'ennemi de leur salut,

et reviennent au chemin de la vérité,

Père,

Ne permet pas qu'ils se perdent,

mais Sauve les afin qu'ils Te glorifient éternellement »

Œuvre du Sacré-Coeur de Jésus

Message du Christ à Sœur Josefa Menendez

« Regarde ce qu'a fait L'Amour »

« Je veux que le monde sache que je suis un Dieu d'Amour,

de pardon et de Miséricorde,

c'est l'Amour qui créa l'homme et tout ce qui existe au monde,

pour le mettre à son service,

c'est l'Amour qui inclina le Père à donner son Fils pour le salut de l'homme perdu par sa faute,

c'est l'Amour qui fit qu'une Vierge Très Pure consentit à devenir la Mère de Dieu

et accepta toutes les Souffrances que la maternité divine devait lui imposer,

c'est l'Amour qui me fit naître dans la rigueur de l'hiver pauvre et dépourvu de tout,

c'est l'Amour qui me cacha trente ans dans la plus totale obscurité,

et les plus humbles travaux,

c'est l'Amour qui me fit choisir la solitude et le silence,

vivre inconnu de tous et volontairement soumis aux ordres de ma Mère,

et de mon Père Adoptif,

c'est l'Amour qui me fit embrasser toutes les misères de la nature humaine,

c'est l'Amour qui me fit supporter les mépris et tant de tourments...

répandre mon sang et mourir sur la croix pour sauver l'homme,

et racheter le genre humain,

je veux que tous sachent à quel point cet amour les cherchent...

les désires...

les attend...

pour les combler de félicité !

Que personne n'ait peur de moi,

que les pécheurs ne s'éloignent pas de moi,

qu'ils viennent se réfugier dans mon cœur,

je les recevrai avec l'Amour le plus tendre et le plus paternel,

oui j'aime tant les hommes ! »