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    Messages du Christ à Soeur Josefa Menendez

     

    Œuvre du Sacré-Coeur de Jésus

    Message du Christ à Sœur Josefa Menendez

    « un message d'Amour et de Miséricorde »

     

    « Mon cœur ne peut plus contenir la flamme qui le dévore,

    j'aime à tel points les âmes que j'ai donné ma vie pour elles,

    pour leur amour, j'ai voulu rester dans le tabernacle,

    depuis 20 siècles, je demeure là, nuit et jour...

    je demeure voilé sous les apparences du pain et caché dans l'hostie,

    par amour je supporte l'oubli, les mépris, la solitude,

    j'ai voulu vous laisser le sacrement de pénitence,

    je veux vous pardonner aussi souvent que vous aurez besoin de recouvrer la grâce,

    là je vous attend …

    là, je désire que vous veniez vous lavez de vos fautes,

    non avec l'eau mais dans mon propre sang,

    au cours des siècles j'ai montré combien le désir du salut de tous me consume,

    j'ai fait connaître mon cœur, je veux maintenant quelque chose de plus...

    je demande l'amour pour répondre à celui qui me consume,

    je désire que tous croient en ma Miséricorde,

    je désire que tous attendent tout de ma bonté,

    je désire que personne ne doute jamais de mon pardon,

    je suis Père,

    un Père qui aime avec tendresse,

    mon cœur est infiniment saint, mais aussi infiniment sage,

    mon cœur connait la misère et la fragilité humaine,

    mon cœur s'incline vers les pauvres pécheurs avec une miséricorde infinie

    j'aime les âmes après qu'elles ont commis leur premier péché,

    si elles viennent me demander humblement pardon …,

    je les aime encore quand elles ont pleuré leur second péché...,

    je les aime toujours...

    je lave dans mon sang le dernier comme le premier péché,

    si cela se répète, je leur pardonne toujours,

    je ne dis pas un milliard de fois,

    mais des millions de milliards, je ne me lasse pas de vous,

    mon cœur attend sans cesse que vous veniez vous réfugier en lui...,

    d'autant plus que vous êtes plus misérables,

    un père n'a t-il pas plus de soin de l'enfant malade que de ceux qui se portent bien?

    Pour lui, sa sollicitude et ses délicatesses ne sont-elles pas plus grandes?

    Ainsi, mon cœur répand il sur les pécheurs, avec plus de largesse,

    encore que sur les justes, sa compassion et sa tendresse,

    voilà ce que je désire expliquer à tous :

    j'enseignerai aux pécheurs,

    que la miséricorde de mon cœur est inépuisable,

    j'enseignerai à tous que mon cœur est un feu qui veut les embraser,

    parce qu'il les aime,

    j'enseignerai aux âmes pieuses et bonnes,

    que mon cœur est le chemin pour avancer vers la perfection,

    enfin aux prêtres, aux religieux, à ceux que j'ai choisis, je demanderai,

    une fois de plus, qu'ils me donnent leur amour et doute pas du mien,

    mais surtout qu'ils me donnent leur confiance

    et ne doutent pas de ma Miséricorde,

    je suis la Sagesse,

    je suis le Bonheur,

    je suis l'Amour,

    je suis la Miséricorde,

    pour régner, je commencerai par faire Miséricorde,

    je suis la paix,

    je veux répandre ma paix jusqu'aux extrémités du monde,

    j'adresse mon appel à tous, aux justes et aux pécheurs,

    aux savants et aux ignorants,

    si vous cherchez la richesse,

    je suis la richesse infinie,

    je veux que le monde connaisse,

    ma miséricorde et mon amour,

    voilà la fin que je veux réaliser,

    voilà mon œuvre d'amour »

     


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